Je n'ai pas encore commencer à écrire mon histoire. Et intéresserait-elle quelqu'un ? Pourtant, il faudrait que je m'y mets. Bon, j'essayerai d'ouvrir un autre blog et si ça marche, peut-être que j'aurai le prix Pullitzer. Je déconne.

Je joue toujours à un jeu débile en ligne. Les gens se prennent toujours pour les rois du monde (et moi aussi...). Mais le pire, c'est que je suis toujours un grouillot moi. Comme dans la vrai vie. En même temps, on est ce qu'on est.
Il y a quand même des gens bien sur ce jeu en ligne. C'est pour eux que je reste. On discute de nos petites vies. Des petites choses futiles. Mais qui font du bien à raconter. C'est ce qu'il reste d'humanité dans ce monde froid et terne qu'est internet.

Sinon, ma vie continue.

J'ai retrouvé un vieil feuilleton sur youtube que je n'avais pas vu depuis mon enfance que nous regardions ma soeur, mon frère et moi.

Comme c'est loin. J'ignorais même que ce feuilleton était en couleur. Quelle belle histoire tirée d'un roman. Je regarderai la suite demain.

Les années passent. Et moi j'appartiens déjà au passé. Heureusement, je n'aurai rien à raconter à personne... ou plus... malheureusement.

Il faut que je raconte, justement...
Il faut qu'il reste quelque chose. Il faut...

Lorsque j'ai commencé ce blog, je voulais parler de ma condition de demandeur d'emploi précaire.
C'est très difficile pour moi de suivre une ligne. J'ai envie de refaire un blog et de parler d'autres choses. J'ignore si je me tiendrai à cette décision.
Mais je laisserai ce blog et j'écrirai quelques billets ici, puisque certaines personnes passent me lire.

Sinon, j'aimerais bien un emploi fictif bien payer... pas vous ?...

Vous n'avez peut-être rien compris au précédent billet... Moi non pus.

Parfois, j'ai besoin de pousser un coup de gueule pour survivre. Cela m'aide à avancer je pense. Ca me prouve que je suis encore vivant.
Je ne suis pas parfait. J'essaye d'exister. Je suis gentil, parfois méchant. Un homme quelconque, en somme.

Que dire des cons qui ont de l'importance, ou qui pensent en avoir, sur cette terre ?

Je prend par exemple les banquiers.
Vous avez remarqué, de nos jours, que les banquiers se prennent pour les maîtres du monde ? A quel point, autant vous avez de l'argent ils s'écrasent devant vous, autant vous en avez peu, ils vous maltraitent ?

Pourtant, ils ne sont pas plus que vous ces tocards. Non, ils ne sont que les instruments d'un système injuste et incohérent qui finira par les bouffer aussi. Parce que ce système nous envoie tous dans le mûr.

Je suis dans une grande banque connue qui fait la pluie et le beau temps. Enfin, plutôt la pluie. Cette belle banque si sympathique qui se prend pour le centre du monde est pourtant responsable de la crise économique. Pourtant, c'est pas leur faute, à les entendre. Mais si, c'est bien de la faute de tous ceux qui travaillent pour cette banque de requins malhonnêtes et corrompus.

Ils se prennent pour des gens à l'intelligence supérieure mais ils sont très loin de l'être. Ne pensez pas que je suis méchant, j'ai des preuves. Oui, des preuves.

Depuis deux semaines, je ne peux pas faire de transaction bancaire. Je pensais que ça venait de mon site internet qui avait un bug. Bon, d'accord, n'importe quoi, je suis un âne. Mais ça aurait pu être ça (dite oui pour me faire plaisir !).

Et bien non ! En fait, voyant que je n'arrivais pas à acheter, un magasin me dit finalement un peu gêné, que ma carte était invalidée !
Quoi ? Comment ? Invalidée !
J'ai faillit dire "non mais allo quoi !".

Et bien, cette merveilleuse société d'achats capitaliste avait raison.
J'ai donc appelé ma banque trop gentille et intelligente. Et là, mon conseiller me dit la gueule enfarinée que c'était normal parce que je l'avais demander.
Non, je n'avais rien demander. Donc, je lui demande de débloquer (la carte j'entends...). Et il ne pouvait pas ! Je m'énerve. Il me passe son collège. En fait, c'est ce chti môsieur qui l'avait bloquer. Le petit rigolo... Et il l'a débloqué finalement.
Pôve con ou tête de con ? Ou les deux ? A vous de juger.

Si c'est pas une preuve que les banquiers sont loin d'être intelligent, je mange mon chapeau. Enfin, je m'achète un chapeau et je le mange. A condition, bien sûr, que je puisse l'acheter hein !

La vie est belle quoi !