-
Celle avec qui je parle...
Cela fait quelques années que je l'ai rencontré via mon blog, quelque part ailleurs.
Un moment, je me disais qu'elle était différente des autres personnes que je connaissais. Qu'elle était désintéressée, par rapport aux autres femmes ou filles avec lesquelles j'échangeais.
La dernière fois, nous avons parlé d'un de ses amis. J'avais envie de parler de moi. Mais j'ai insisté pour que nous parlions d'elle. Je la sens si seule, si désespérée. Elle m'a donc parler de sa relation et de sa souffrance. Il m'a semblé qu'elle se sentait soulagée, un peu mieux dans sa peau.Depuis plusieurs semaines, j'essaye de la contacter. Pour pouvoir discuter avec elle. Pour pouvoir parler un peu avec quelqu'un. Je me sens seul parfois.
Et bien... Elle est connectée; mais elle n'a jamais le temps de parler avec moi.Elle se plaignait de ne pas avoir de vrais amis, une fois. Pourtant, elle en a. Elle a des collègues etc. Elle va même chez eux pour passer du temps avec ses copines.
Parfois, je me dis que je suis un peu stupide. J'échange avec cette femme mais je me rend compte qu'elle n'est pas aussi seule qu'elle le disait.
J'aurais aimé échanger avec elle pendant ces vacances d'hiver. Le temps est froid et long. Je ne discute plus avec personne... non personne.
Et elle n'est plus disponible pour discuter. Sauf lorsque je serai en train de le faire avec une autre personne... là, elle saura me contacter.
A force de déception perpétuelles comme ça... je finirai par vouloir rester seul à tout jamais. Il faudrait que je trouve une forêt inexplorée... non, une planète...
Partir très loin de tout, de tous.
Je suis encore tombé sur une égoïste et une fausse amie. Je suis vraiment le roi des cons.
-
Commentaires
Il existe une planète où je vis. C'est mon imaginaire. Je peux m'y évader souvent.
Merci pour tes passages, cher Volodia.
Je passe aussi sur ton blog où je peux apprécier les photos d'endroits magiques.
Bonne journée et bonnes fêtes de fin d'année.
Ajouter un commentaire
Il n'y a pas de planète pour Le Roi des cons, elle n'existe pas Oskar te voilà obligé de rester avec nous tous, nos faiblesses, nos égoïsmes. A te lire.